Avez-vous parfois la sensation d’être confronté à un plafond de verre pour faire décoller votre business ?

…. en particulier depuis l’omniprésence du web et les réseaux sociaux !!

Que vos prospects et vos clients sont là quelque part mais sont de plus en plus insaisissables?

Oui ? Et bien, vous n’êtes pas le seul…. 79 % des TPE le vivent aussi * !

Mais que faire ?

Dans cette interview, je vous partage la clé n°1 pour faire décoller votre business et définitivement vous démarquer

Prenez juste 5 min de votre temps et découvrez ce qui peut changer la vision de votre stratégie commerciale

Vous apprendrez :

 

  • Comment créer l’adhésion sur vos services, au-delà de vos arguments rationnels et factuels ?

  • La clé n°1 pour vous différencier sur votre marché

  • Pourquoi et comment les stratégies des grands groupes peuvent vous inspirer, même dans le B2B ?

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[one_half] Si vous préférez écouter la chronique de Marie Bodiguian en podcast[/one_half]

[one_half_last][button link= »https://www.stitcher.com/podcast/marie-bodiguian » size= »small » target= »_blank or _self » icon= »cog » color= »white » lightbox= »true or false »]Ecoutez maintenant[/button][/one_half_last]

A vous maintenant, je serais curieuse de savoir :

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[accordion-item title= »Vous reconnaissez-vous dans l’un des 3 profils d’entrepreneurs que j’ai cité, face au web ?
Quel élément de cette interview vous inspire le plus et vous donne envie de mettre en pratique, tout de suite ?
Comment gérez-vous votre stratégie commerciale avec le web et les réseaux sociaux ? « ]

Partagez-moi votre réponse dans les commentaires sous la vidéo ou le podcast svp !

Vous avez une longue expérience et une expertise unique à transmettre, dont le Monde a besoin pour avancer,

Avec toute ma gratitude,

Chaleureusement,
Marie

[/accordion-item]
[accordion-item title= »PS : si vous préférez tout lire.. »]

Comment fixer vos tarifs en fonction de vos compétences, de votre valeur, si vous êtes consultant, si vous êtes prestataire de services.

– Marie BODIGUIAN, bonjour !

– Bonjour Christelle.

– Vous êtes Directrice Marketing Business formation-conseil, spécialisée en neuromarketing. Vous accompagnez les entreprises dans leurs stratégies commerciales. Selon une étude récente, le développement commercial des TPE ne décolle pas. Comment l’expliquez-vous?

– Oui, en effet Christelle. En fait, il y a une étude d’Accenture qui dans la nouvelle économie dit qu’on a seulement 21% des responsables commerciaux qui contrôlent leur service client.

Donc, on voit bien qu’il y a un problème quelque part. Et en fait, selon moi, on a trois catégories dans cette nouvelle économie d’entrepreneur des responsables commerciaux.

Soit, on a des entreprises qui fonctionnent bien , qui fonctionnent sur l’acquis et qui du coup, ont tourné le dos complètement au web. Elles n’en ont pas besoin, c’est OK comme ça, mais elles arrivent quand même à un plafond vers un moment donné. Soit, d’autres ont pris le train du web et des réseaux sociaux et donc, elles ont utilisé le web pour pouvoir travailler le profil de leur client avec la data et du coup évoluer. Mais en revanche, elles collent aux canaux du numérique leurs anciens messages, leurs anciennes stratégies commerciales : elles vont chercher le client, et elles sont donc du coup hyper intrusives. C’est chronophage et cela coûte cher, voilà.

Et la troisième catégorie, ce sont les entreprises qui en effet ont plongé complètement dans le web alors elles sont à fond aussi dans la data. Très renseignées, elles sont moins sur le terrain. D’accord ? Du coup elles en oublient l’humain ! Alors, pas l’humain sociodémographique parce que là, ils sont hyper renseignés aussi, mais elles en oublient l’humain dans leur profil psychologique et dans leur environnement psychologique, d’après ce qui peut être.

– D’accord donc, quelle est la stratégie la plus appropriée justement pour rompre ce plafond de verre ?

– Alors en fait, on va travailler plus à essayer de modéliser ce que les grands groupes arrivent par exemple à faire aujourd’hui pour pouvoir – parce que là, on parlait vraiment des TPE.

– Bien sûr.

– Comment les grands groupes arrivent justement…

– On va prendre exemple sur eux.

– Voilà. Donc, l’idée si vous voulez c’est que les grands groupes type Starbucks…

– Apple.

– … Apple, travaillent beaucoup sur tout ce qui est le rationnel. Donc, pour cela les TPE sont très fortes là-dessus.

– Oui.

– Les raisonnements, les caractéristiques, les bénéfices… Mais aussi sur l’émotionnel. D’accord ? C’est quelque chose dont on a peur, l’émotionnel aujourd’hui en France, beaucoup.

Or en fait, pour pouvoir…

– Avoir une stratégie efficace.

– Voilà, avoir une stratégie efficace et que le produit, le service soit adopté, il faut pouvoir mêler ces deux-là.

– D’accord.

– C’est cela qui fonctionne. Et du coup, on accompagne le client dans la décision de la connaissance du produit, mais après dans son affectif, son appropriation par rapport au service.

– D’accord.

– D’accord ?

– Mais alors, est-ce que c’est adapté au B2B, est-ce que c’est éthique aussi ?

– C’est justement plus que jamais adapté au B2B et plus que jamais éthique. Pourquoi ? Parce qu’en fait dans le B2B on a une certaine expertise et on a la possibilité de partager son expérience, ses contenus pour pouvoir éduquer son client et pouvoir l’accompagner dans sa décision.

– Ou créer un lien.

– Ou créer un lien, et du coup selon justement certain nombre de neuroscientifique et de psychologue, on est dans la loi de la réciprocité qui est tout à fait naturelle. Je vous donne quelque chose, à partir du moment où cela match entre nous, vous avez envie de, je dirais, …vous êtes reconnaissante.

– D’accord.

– D’accord voilà, et on a envie d’échanger.

– D’accord, donc, vraiment on essaie d’avoir un service extrêmement efficace et  voilà

– Absolument, justement c’est cela qui fait que c’est éthique. C’est que dans le B2B, on en donne toujours beaucoup plus que notre promesse et c’est cela qui fait que c’est éthique. C’est-à-dire on a un service béton. On a un produit et on a un service béton.

– D’accord, quels sont les pièges à éviter pour se démarquer de la concurrence ?

– Alors, pour pouvoir justement être dans le rationnel et dans l’émotionnel, il faut donner un petit peu de ses valeurs, de ce que l’on est pour pouvoir entraîner notre client idéal : le profil psychologique de nos clients.

D’accord, donc cela veut dire qu’on va s’aligner et on va essayer de comprendre un peu nos valeurs pour pouvoir finalement donner des indicateurs au marché qui sont un peu différents et qui vont déplacer le curseur aussi du marché et donc, se différencier, d’accord ?

– Et donc, vous allez positionner comme cela face à la concurrence ?

– Oui, comme cela, on se positionne face à la concurrence de façon différente. Et aussi en accompagnant les clients, les prospects, on donne du contenu. On accompagne le client, le prospect en partageant son expertise. Et donc, à partir de là, on se différencie aussi.

– En créant un contenu pertinent justement.

– En créant des contenus pertinents et en créant des contenus qui ont une stratégie, une direction vers votre service, mais de façon intelligente.

– D’accord.

– Voilà.

– Marie BODIGUIAN, merci beaucoup d’avoir répondu à nos questions.

– Merci Christelle !

– Je vous dis à très bientôt, au revoir.

– À très bientôt, au revoir Christelle !

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