Marie Bodiguian : Comment faire quand vous avez ce sentiment d’échec ou en tous les cas d’impasse quand un client vous dit non ? Quand vous n’avez pas ce contrat, que vous espériez tant ? Ou que vous n’avez pas atteint le chiffre d’affaires que vous cherchez à avoir ? Alors dans ce seizième défi, j’ai en fait pour vous trois bonnes questions à vous poser pour, on va dire, transformer ces situations en opportunités. Et en fait, je vais me baser sur mon expérience puisque ça fait 30 ans que je suis entrepreneure, vous le savez, mais aussi sur celle de mes clients, de partenaires et aussi et surtout sur les travaux d’une chercheur américaine, Carol Dweck, qui est de l’Université, de l’Université de Stanford, qui a écrit en fait un ouvrage qui s’appelle « La nouvelle psychologie de la réussite » et qui prône justement la progression et l’état d’esprit de croissance. Donc, je vous dis ça dans quelques secondes, mais d’abord, ce que je vous propose, c’est de vous abonner à la chaîne La Télé des Entrepreneurs pour ne pas rater les prochains défis, puisque mon objectif est de vous aider à transformer, à vous transformer pour vous aider à métamorphoser votre entreprise et fêter avec vous mes 30 ans d’entrepreneure. Alors la première question que je vous propose. Alors oui, j’ai oublié, surtout, mettez un petit pouce si jamais vous aimez ces défis parce que ça encourage YouTube à, prend ça comme un petit signe pour le proposer à d’autres. Voilà donc la question que je voudrais vous poser qui va en fait faire découler, en fait les trois autres bonnes questions que vous avez à vous poser. C’est en fait d’une situation comme ça. Qu’est-ce que vous auriez à apprendre ? On a toujours pour comment dire, c’est pour nous naturel de se dire quand, par exemple, si vous faites du vélo, si vous faites de la marche, il est forcément évident que vous n’allez pas arriver, même si vous savez faire du vélo, même si vous savez marcher. Donc, vous savez, vous avez votre expertise. Vous savez travailler. Vous savez, vous avez vos compétences. Mais pour le vélo ou pour la marche, on peut imaginer que il faut petit à petit progresser pour pouvoir faire 2 km, 3 km, 5 km, 10 km, 30 km. Et pour la marche des marathons. Pourquoi ce ne serait pas le cas pour notre, notre trajectoire professionnelle ? Alors la première question que je vous propose de vous poser dans ce genre de situation d’abord, c’est de prendre conscience. Comment est-ce que vous recevez ce non ? Est-ce que votre ego en prend un méchant coup ? Ce qui est normal. On prend des claques dans la figure. Si vous avez, ça vous est arrivé forcément si vous travaillez, vous êtes dans votre secteur depuis des années. Moi, ça fait 30 ans que je travaille, que je suis entrepreneure. J’en ai reçu des claques dans la figure, évidemment. Mais en fait, est-ce que vous considérez ça comme une finalité ? Et que du coup, vous vous dites « Bon bah, je suis pas dans j’ai fait fausse route, il faut que je fasse autrement et je vais essayer autre chose ». Ou est-ce que vous vous dites et bien je vais aller essayer déjà de comprendre pourquoi et d’aller chercher du feedback. Et ça, c’est vraiment essentiel. J’ai fait une vidéo là dessus quand j’étais à Toronto sur le feedback et sortir de sa zone de confort. Est-ce que vous, je vous propose en fait surtout de vous, de vous dire voilà : comment est-ce que je peux comprendre la réponse de ce client ? Comment est-ce que je peux comprendre pourquoi je n’ai pas réussi à atteindre ce chiffre d’affaires ? Et en toute humilité et avec beaucoup de tact, l’idée, c’est de, si vous devez avoir à demander à des clients pourquoi ils vous ont dit non. Et bien les gens peuvent comprendre. Moi, je le fais souvent de, d’essayer de comprendre pour améliorer mes services, pour améliorer… Qu’est-ce que ? Comment est-ce qu’on peut s’améliorer ? Voilà, et je vous assure qu’en fait, en plus, c’est apprécié. Et ça m’amène à la deuxième bonne question à vous poser. C’est que si vous avez, vous voyez un domaine sur lequel vous avez à vous améliorer. Quelles compétences vous pouvez aller chercher et surtout vous former encore ? Parce que vous le savez aujourd’hui, le monde bouge tellement vite que et bien on doit se former sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt. Personnellement, en 2011, donc après la crise, l’avènement des et l’usage des réseaux sociaux de façon de plus en plus massive. J’étais dans la communication d’influence et de marketing d’influence depuis toujours et indépendamment de la deuxième activité que j’avais prise pour, que j’avais créée pour justement refaire de la trésorerie. Je me suis rendue compte qu’il fallait que je me forme en Webmarketing justement pour faire éclore tout, tout, tout mon business et petit à petit ça m’a amené aussi après, à me former sur les neurosciences appliquées au marketing et à la vente. Ça m’a amené à, puisque je travaillais dans l’éducation numérique, à surtout me former sur les neurosciences cognitives. Et vraiment c’était hyper enrichissant et ça m’a permis de rester dans ma, dans ma ligne de mission de vie professionnelle mais en me formant et donc en rebondissant. J’avais fait une vidéo où c’était le premier défi justement sur comment rebondir. Donc, vous allez trouver un petit lien au-dessus de cette vidéo. Donc voilà. Et donc, du coup, une fois que vous avez eu ce feedback, une fois que vous vous dites voilà, « bon maintenant j’ai des compétences à acquérir,  j’acquière ces compétences. La troisième question à vous poser et qui suis vraiment en fait les travaux de Carol Dweck. Je l’ai constaté dans mon expérience avec des partenaires, des clients, mais j’ai structuré cette vidéo en fonction des travaux de Carol Dweck par rapport à ce qu’elle propose. Et en fait, l’autre, la troisième question à vous poser c’est : quel défi vous pourriez vous vous donner ? Quel, quel engagement vous vous allez vous donner à vous-même ou vis à vis d’autres personnes ? Et donc quel défi vous allez relever et sur lequel vous allez vous engager ? En fait, quand vous avez des nouvelles compétences, vous, vous allez forcément avoir envie de les tester. Et l’idée, en fait, c’est de progresser. Donc, si c’est l’idée. L’idée est de progresser. C’est que forcément vous allez avoir à mettre des indicateurs de progression pour pouvoir justement relever ce défi petit à petit. Ok ? Alors je vous donne un exemple : vous avez acquis de nouvelles compétences. Ou moi, je prends mon cas en termes de webmarketing, par exemple, en 2012-2013. Eh bien, en réalité, j’ai proposé au départ les comment dire ces nouvelles, ces nouvelles offres de webmarketing à mes anciens clients. Et puis après, j’ai travaillé sur des tests en faisant du pilote. Et puis ensuite, petit à petit, je me suis fixée des nombres de clients à avoir pour proposer ces nouvelles offres. Voilà donc évidemment tout ceci n’arrive pas du jour au lendemain. On doit répéter, on affine. C’est exactement comme pour le sport. Et voilà, je vous laisse avec ces trois bonnes questions à vous poser, c’est-à-dire : Quel feedback vous avez, vous pouvez avoir d’une mauvaise réponse ? Quelles compétences vous pouvez aller chercher ? Et quel défi vous avez à relever ? Et tout ça parce que vous vous demandez qu’est-ce que je peux apprendre de tout ça ? Je vous remercie beaucoup pour votre attention et votre confiance. Surtout, n’oubliez pas de vous abonner à la chaîne la Télé des Entrepreneurs, de mettre le petit pouce si vous avez aimé cette vidéo et je vous retrouve très vite dans le 17ème défi pour vous aider à vous transformer et à métamorphoser votre entreprise. À très vite. Merci pour votre confiance et votre attention. A très vite. Ciao  

Write a Reply or Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.